Il est souvent proposé de boire un café accompagné de quelques « tartines » ou autre au dojo après les zazen du matin.

Ce temps est une prolongation de questions soulevées par la pratique au quotidien.

Toujours dans l’état d’esprit du « don », on y participe en donnant un fusé (de l’argent ou en nature).

Pour cela, il faut s’enquérir de ce qui peu manquer au groupe pour que ce moment puisse prendre forme.

Ce n’est pas le quart d’heure social ni d’échange trivial ou politique.

La concentration, l’observation, la bienveillance sont présentes pour une qualité d’esprit en mouvement qui prolonge zazen. Sous un autre abord, l’argent et l’apport matériel sont des entités à qui l’on donne vie autrement par le don.

Merci d’avance pour tous ceux qui auront compris que le fusé fonde l’Assise de cette pratique essentielle à la compréhension de ce qui fait de nous des êtres profondément vivants.